“You see how I do my makeup for work? Very demure. Very mindful.”
When beauty influencer Jools Lebron posted a TikTok about how to be respectful in the workplace, she called it a reality check for divas who were “[doing] too much” at their nine-to-fives. “I don’t come to work with a green-cut crease. I don’t look like a clown when I go to work. I don’t do too much. I’m very mindful while I’m at work. You see how I look very presentable? The way I came to the interview is the way I go to the job,” the Chicago-based creator said. “A lot of you girls go to the interview looking like Marge Simpson and go to the job looking like Patty and Selma. Not demure. I’m very modest. I’m very mindful.”
@joolieannie #fyp #demure
The clip is expected fare from Lebron, who is best known for posting both cosmetics reviews and sharp commentary on her life as a plus-sized trans woman to her 1.3 million followers. But in less than a week, her video has gone from a humorous take on respectability to the phrase of the moment.
While demure’s definition often involves modesty, piety, or being reserved, Lebron’s version of demure is about being cutesy, respectable, and chill. Lebron’s video has over 10 million views, and close to 100,000 likes — which doesn’t include the over 4,000 videos that have been made off her original sound. According to Spotify, the music streaming app, playlists using the word demure have increased by over 2,500 percent in the United States, featuring songs by artists like Lana Del Rey, Mitski, Billie Eilish, and SZA. People are being very demure at the gym, eating sandwiches demurely, and being very demure about sunscreen protection. Like the eras before it, demure has firmly entered into the summer’s TikTok lexicon, alongside hawk tua and the omnipresent brat summer. There’s even notable drama over who created the trend first.
But like most internet trends, the rise of demure hasn’t come without drama. Popular trans creators Selyna Brillare and Devin Halbal have also posted videos encouraging people to be demure, both of which used the specific word but had none of the reach of Lebron’s TikTok. But the resurgence of the trend, specifically Lebron’s newfound attention, has led to some infighting on TikTok. Brillare posted several now-deleted videos on TikTok claiming she created the trend first and wanted credit. In an Instagram Live, Brillare went further to say Lebron was “getting her bag” — just trying to make money — and hadn’t given her proper credit. When asked for comment by Rolling Stone, Brillare said, “I’m very glad everyone is enjoying the trend. It warms my heart to see so many people coming together and be creative.” Halbal, another trans creator, encouraged people to “keep it demure” and follow Lebron. (In a later TikTok comment, Lebron told a follower that Halbal had reached out to her to “give her love.” Halbal did not immediately respond to Rolling Stone‘s request for comment.)
Lebron’s answer throughout the drama has been simple: She plans on keeping it demure. “Earlier I fed into drama. Not demure of me,” she said in a TikTok. “Let’s be mindful before someone feeds drama to us.” In another video, Lebron pointed out that trans people of color originated many popular catchphrases, which means the best way to honor the trend is by acknowledging the work of queer trailblazers in popular culture. “Being demure is thanking the people who have come before you, while you pave the way for the people who will come after you,” Lebron said. “And that’s being demure, divas.” (Lebron did not respond to Rolling Stone’s request for comment.)
@joolieannie #fyp #demure
Since popularizing demure, Lebron seems determined to prove that demure isn’t a one-off trend — it’s a mindset. The terms have already migrated to other social media apps like X (formerly Twitter). It’s been the soundtrack of a presidential candidate Kamala Harris fan video with 6.7 million views. It’s even gotten the stamp of approval from Miss Brat Summer herself, Charli XCX: The singer posted one of Lebron’s TikToks on her Instagram story. And Lebron has taken the demure agenda to heart, sharing dozens more videos explaining how to be demure in a variety of settings, including the airport, hotels, in line for doughnuts, and at drag shows. “The gag is, there have been so many demure divas who have come before me,” Lebron said, explaining demure for the people in her comments section. “Demure is just a way of life for the girls, for the dolls like me.”

















Comment 50 Cent a-t-il obtenu les vidéos de Diddy pour son documentaire?
Ceci est la traduction adaptée d’un article de Cheyenne Roundtree, originalement publié par Rolling Stone le 11 décembre 2025. Nous republions l'article originalement intitulé How Did 50 Cent Get That Sean Combs Footage? Diddy’s Videographer Explains avec la permission de son autrice. Notez que certaines subtilités et nuances peuvent différer de la version originale.
Le documentariste engagé pour filmer Sean «Diddy» Combs au cours des deux dernières années a éclairci la façon dont Netflix a obtenu des images tournées en coulisses dans les jours précédant son arrestation.
Michael Oberlies a démenti les rumeurs en ligne voulant qu’il y ait eu un «conflit d’honoraires ou un problème contractuel», affirmant plutôt que 50 Cent et le réalisateur de Sean Combs: The Reckoning se seraient retrouvés avec les images parce qu’il avait engagé un pigiste pour le remplacer brièvement.
«Depuis plus de deux ans, nous travaillons sur un projet dressant le profil de Sean‘Diddy’Combs», déclare Oberlies dans un communiqué transmis à Rolling Stone. «Les images en question n’ont pas été diffusées par moi ni par quiconque autorisé à gérer le matériel de Sean Combs; elles l’ont été par un tiers qui m’a remplacé pendant trois jours alors que j’étais à l’extérieur de l’État. Cet incident n’a rien à voir avec un conflit d’honoraires ou un problème contractuel. Les actions des parties impliquées reflètent un manque d’intégrité que tout conteur devrait éviter. Utiliser des images destinées à notre projet pour faire avancer un récit qui n’est pas le nôtre est à la fois contraire à l’éthique et inacceptable.»
La façon dont Netflix a obtenu ces images stupéfiantes pour la série documentaire en quatre épisodes est devenue un thème central entourant le projet. La réalisatrice Alexandria Stapleton et Netflix ont affirmé dans des déclarations antérieures que les images avaient été «obtenues légalement».
Les caméras montrent Combs dans sa chambre d’hôtel du Park Hyatt à New York le 10 septembre 2024, soit seulement six jours avant son arrestation. (L’homme de 56 ans a été acquitté des accusations les plus graves en juillet, mais a été condamné à 50 mois de prison après avoir été reconnu coupable de deux chefs liés au transport en vue de solliciter des actes de prostitution.)
Bien que relativement brèves, les images offrent un accès sans précédent au sanctuaire intérieur de Combs. En filmant son propre projet documentaire potentiel, Combs dit à son avocat de la défense criminelle Marc Agnifilo de ne pas se limiter à apparaître à CNN pour diffuser son récit, mais plutôt de trouver «quelqu’un qui a déjà travaillé dans la business médiatique et propagandiste la plus sale qui soit» afin de cibler de potentiels jurés sur Instagram et TikTok.
Il donne des indications au vidéaste remplaçant présumé, lui demandant d’obtenir des «plans de coupe» d’agents de police qui se trouvent sur un toit voisin. Combs serre des fans dans ses bras et leur sourit dans un bar local de Harlem, mais de retour dans son VUS, il rit en disant qu’il a besoin de désinfectant pour les mains et qu’il veut prendre un bain chaud parce qu’il «a été dans les rues, parmi le monde».
Combs a aussi été filmé en train d’exploser de colère lorsqu’il a appris la poursuite pour harcèlement sexuel déposée contre lui par Dawn Richard, ancienne membre de Danity Kane et de Diddy-Dirty Money, déclarant que «les gants sont enlevés». Il a demandé aux membres de son entourage, dont son fils adulte Justin, de faire circuler de vieux extraits montrant Richard en train de le complimenter en entrevue. Il a aussi sollicité un service de Kalenna Harper, autre membre de Diddy-Dirty Money, la suppliant de publier une déclaration contredisant les allégations de Richard. Lors des audiences préliminaires, les procureurs du Disctrict Sud de New York ont présenté les appels et messages répétés de Combs à Harper comme une forme de manipulation de témoin. (Harper a éventuellement publié une déclaration. Les avocats de Combs ont nié l’accusation.)
Oberlies travaille avec Combs depuis au moins 2019. Photographe personnel résident pour le magnat de la musique, cet homme de 36 ans a immortalisé son cinquantième anniversaire rempli de célébrités dans sa maison de Los Angeles; documenté l’enregistrement de The Love Album: Off the Grid en 2023; et même accompagné les fils adultes de Combs au tribunal en signe de soutien lorsque celui-ci a été inculpé pour trafic sexuel fédéral et complot de racket le 17 septembre 2024. (Rolling Stone a tenté de joindre le vidéaste pigiste pour obtenir des commentaires.)
Combs a semblé pris de court par le fait que Netflix avait obtenu les images, son équipe envoyant une mise en demeure à Netflix avant la diffusion du documentaire.
Qualifiant le projet de «campagne de salissage» et accusant la plateforme d’enfreindre les lois sur le droit d’auteur si elle diffusait les images, les avocats de Combs ont affirmé qu’il «n’a jamais hésité à entreprendre des démarches judiciaires contre des médias ou d’autres entités qui violent ses droits, et il n’hésitera pas à le faire contre Netflix», selon une copie de la lettre obtenue par Rolling Stone. (Plus tôt cette année, Combs a poursuivi NBCUniversal pour 100 millions de dollars concernant son documentaire Diddy: The Making of a Bad Boy. L’affaire est toujours en cours.)
Cependant, depuis la diffusion du documentaire, Combs n’a intenté aucune action judiciaire contre Netflix. Stapleton a déjà affirmé qu’elle avait obtenu les images «légalement» et qu’elle détenait «les droits nécessaires» pour les inclure. «Nous avons déplacé ciel et terre pour protéger la confidentialité de l’identité du réalisateur», a-t-elle déclaré dans un communiqué. «Une chose à propos de Sean Combs, c’est qu’il se filme constamment, et c’est une obsession depuis des décennies. Nous avons aussi contacté l’équipe juridique de Sean Combs à plusieurs reprises pour une entrevue et des commentaires, mais nous n’avons pas eu de réponse.»